Je ne pensais pas...

mardi 26 août 2008




Je ne pensais pas qu’un homme ça puisse vous retourner le ventre comme ça, je ne pensais pas qu’un homme ça vous faisait vous sentir nue, démunie, vulnérable.
Je pensais pas qu’un homme ça puisse être tendre, que ça puisse prendre votre toute petite main dans la sienne pendant que vous dormez, je ne pensais pas qu’un homme, ça puisse vous serrer si fort sans toutefois vous faire mal, je ne pensais pas qu’il existait une place toute naturelle juste contre sa clavicule pour que vous puissiez y nicher votre visage.
Je ne pensais pas qu’un homme puisse vous emmener si loin, et vous faire si peur à la fois. Je ne pensais pas qu’un homme puisse vous attendre à la porte de la salle de bain parce que vous pleurez, je ne pensais pas qu’un homme puisse vous faire sentir belle, forte, fière.
Je ne pensais pas qu’une même personne puisse vous faire vivre l’enfer et le paradis.
Je ne pensais pas.

WE

dimanche 10 août 2008
J'aime bien que mes week-end avec lui soient ça, des petits-déjeuners tardifs, des heures passées à regarder des films lovée contre lui, ses gestes vers moi, ses lèvres qui me cherchent le matin, sa façon de me prendre la bouche, la douceur de son ventre, sa mauvaise foi évidente, la force de ses bras...

je suis amoureuse.

Cookies, muffins & co

dimanche 22 juin 2008

Ce n'est pas maintenant que je vais baisser les bras, pas maintenant que je vais abandonner, pas maintenant que je vais rendre les armes, même si j'ai peur et que cette peur me rend parfois incontrôlable.
Je t'ai attendu si longtemps...
Je suis partie.
Tu l'as quittée.
Je n'ai pas voulu revenir.
Tu es venu me chercher, avec tes mots, ta force, tes bras, ta patience, ta douceur, tes lèvres et nos pleurs.
Et je l'ai quitté.
Je l'ai quitté et je suis revenue à toi.
Parce que c'était une évidence que c'était toi.
Et personne d'autre que toi.
Si tu te demandes ou est ta place à présent, la réponse est simple.
Elle est là.
A côté de moi, sur ce fichu oreiller.
Ta place est contre mon corps, ta tête tout contre mes seins, et mes bras tout autour de toi.
Ma place à moi est un endroit très particulier, au creux de ta clavicule, à la naissance de ton cou, un endroit ou je peux sentir ta barbe me caresser le bout du nez lorsque je lève ma tête vers toi pour te regarder à travers cette fichue mèche qui me tombe toujours sur les yeux.
Ta place est là.
Ma place est là.
Et nulle part ailleurs.
Parce que tu es mon homme.
Et je ne laisserai ni mes peurs, ni ta dureté gâcher ça.

Tiens le toi pour dit.