Je suis sérieuse, crois moi, crois nous, tu y as touché, goûté, tu t'y es étendu, tu t'y es laissé glisser, plonger, tu t'es laissé pénétrer, envahir, habiter, tu as donné, tellement, reçu aussi, autant, c'était limpide, naturel, évident, exceptionnellement normal, terriblement simple, désespérement bon, chez toi mais chez moi, avec moi, sur ou sous moi, en moi...
"Play this song
and let it remind you its real, so real"
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J'aime pas être seule - J'aime pas être sans lui - J'aime pas cette vie là - J'aime pas ne pas savoir - J'aime pas avoir peur - J'aime pas qu'il ait peur - J'aime pas mes mots - J'aime pas ma fougue - J'aime pas me positionner - J'aime pas ses ressentis - J'aime pas provoquer ça - J'aime pas ce ressenti - J'aime pas me retourner - J'aime pas ne rien sentir - J'aime pas tout ressentir - J'aime pas cette absence - J'aime pas sa présence - J'aime pas qu'elle soit là - J'aime pas ce qu'elle fait - J'aime pas ses coups - J'aime pas ce que j'ai fait - J'aime pas ce mal - J'aime pas pleurer - J'aime pas quand il pleure - J'aime pas qu'il pleure dans ses bras - J'aime pas pleurer dans leurs bras - J'aime pas cette attente - J'aime pas ce froid parfois - J'aime pas ce calme
L'oeil du cyclone.
Ses bras si moelleux,
Sa bouche si tendre,
Ses yeux si fiers
Sa poitrine si douce,
Ses mots si forts,
Il me manque. Mais même s'il ne revient pas, promis :
^^
Sa bouche si tendre,
Ses yeux si fiers
Sa poitrine si douce,
Ses mots si forts,
Il me manque. Mais même s'il ne revient pas, promis :
^^
essai n° 1 : food? food! food...
ingrédients:
scénario #1:
L'inviter chez moi en prétextant une quelconque réunion... au préalable, prendre soin de m'enduire les cheveux d'huile façon jesuisuneveritablebeautétropicale, boire les 12,5 cl de lait entier devant lui avec une sensualité digne d'une publicité pour les produits laitiers (i.e.: moustache laiteuse, bouche légèrement entrouverte, regard langoureux...) (note pour plus tard: revisionner les pubs gnagnagna les sensations pures et faire attention à ne pas confondre avec les pubs Chavrou)... si besoin est, laisser nonchalamment tomber des petits bouts de lardons sur mon décolleté (l'homme a ses points faibles et moi je suis prête à tout!)... faire en sorte qu' iTunes joue négligemment une chanson de Medhy Custos et onduler lascivement du bassin en allant chercher des pruneaux à la cuisine... (pour l'usage du gruyère rapé j'ai un peu de mal... dans les cheveux? trop grunge... sur les cuisses? trop souillon... dans le décolleté? trop crassou...)
ou alors...
scénario #2:
Rester comme une pauvrette. Travailler au fouet les oeufs, la farine, la levure, le sel et le poivre. Incorporez petit à petit l'huile et le lait tiède. Ajouter le gruyère rapé. Mélanger
Faire rissoler les lardons pendant 5 minutes... épongez le gras avec un papier sopalin. Couper les pruneaux, les mélanger aux lardons.
Faire cuire le tout 45 minutes à thermostat 6 (180°C).
M'empiffrer de cake en regardant How I met your mother et constater avec regret qu'aujourd'hui est mon dernier jour de vacances...
Oui... en fait je crois que je vais plutôt faire ça...
ingrédients:
- 3 oeufs
- 150g de farine
- 1 sachet de levure
- 10cl d'huile de tournesol
- 12,5 cl de lait entier
- 100g de gruyère rapé
- 200g de lardons fumés
- 80 de pruneaux d'agen
- 1 pincée de sel
- 2 pincées de poivre
scénario #1: L'inviter chez moi en prétextant une quelconque réunion... au préalable, prendre soin de m'enduire les cheveux d'huile façon jesuisuneveritablebeautétropicale, boire les 12,5 cl de lait entier devant lui avec une sensualité digne d'une publicité pour les produits laitiers (i.e.: moustache laiteuse, bouche légèrement entrouverte, regard langoureux...) (note pour plus tard: revisionner les pubs gnagnagna les sensations pures et faire attention à ne pas confondre avec les pubs Chavrou)... si besoin est, laisser nonchalamment tomber des petits bouts de lardons sur mon décolleté (l'homme a ses points faibles et moi je suis prête à tout!)... faire en sorte qu' iTunes joue négligemment une chanson de Medhy Custos et onduler lascivement du bassin en allant chercher des pruneaux à la cuisine... (pour l'usage du gruyère rapé j'ai un peu de mal... dans les cheveux? trop grunge... sur les cuisses? trop souillon... dans le décolleté? trop crassou...)
ou alors...
scénario #2:
Faire rissoler les lardons pendant 5 minutes... épongez le gras avec un papier sopalin. Couper les pruneaux, les mélanger aux lardons.
Faire cuire le tout 45 minutes à thermostat 6 (180°C).
M'empiffrer de cake en regardant How I met your mother et constater avec regret qu'aujourd'hui est mon dernier jour de vacances...
Oui... en fait je crois que je vais plutôt faire ça...
Je le sais avec Elle et j'ai terriblement froid.
Je suis attaquée par mes pensées noires, par des visions d'eux, j'imagine des gestes et des sourires.
Le siège dure encore et encore, je me défend et résiste mais mes murailles flanchent, il y a trop de brèches. Je combats vaillament, je le sais, mon armée est forte, bien équipée mais ils sont trop nombreux, ces mécréants, ces Chevaliers du Désespoir ...
Ils sont entrés, parcourent mes rues et brûlent mes maisons.
Je suis tombée.
Rêveuse, gourmande, spontanée et célibataire depuis peu.
J'ai perdu celui qu'amoureusement, j'appellais mon Cake.
Brillant, drôle, touchant (même s'il déteste qu'on lui dise), attachant, si simple et si compliqué à la fois, susceptible, sensible, intense et sexy.
Et je l'ai perdu.
Et j'en meurs chaque jour.
Et ce blog pour lui ...
Pour moi ...
Pour nous ...
Pour une part de nous.
Dédicace spéciale à Maud, Sophie et Anne Claire. On se refait ça quand vous voulez, les filles ! Hihihi !!! ^^
Bientôt, je vous parle de moi et du but de ce blog ...
Bientôt, je vous parle de moi et du but de ce blog ...
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