Finalement la Saint-Valentin est passée, sans un mot, sans un souffle, sans un baiser, sans un téléphone qui a sonné.
Mais elle est passée.
Et moi je suis très très fatiguée, trop de plaies, trop de fronts sur lesquels se battre, trop de refus d'abandonner.
Pourtant, il y a des fois où.
Où il serait moins douloureux de partir et d'accepter que les choses n'étaient pas si extraordinaires, si belles, ou si fortes qu'on le pensait.
Mais elle est passée.
Et moi je suis très très fatiguée, trop de plaies, trop de fronts sur lesquels se battre, trop de refus d'abandonner.
Pourtant, il y a des fois où.
Où il serait moins douloureux de partir et d'accepter que les choses n'étaient pas si extraordinaires, si belles, ou si fortes qu'on le pensait.